On doit pas faire les meme concert alors
faire un concert avec du f/8..... a part au Hellfest/Motocultor ou autre festival en exterieur c'est tout simplement impossible. Sauf si tu monte en ISO comme un dingue, mais si c'est pour avoir un grain degueulasse sur les tofs, c'est pas du tout de mon gout. Perso j'essaye de jamais outrepasser les 3200ISO et encore à vrai dire plus dans les 2000. Toujours avec une vitesse comprise entre 1/80 et 1/160, avec une ouverture a 3,2 la plupart du temps. Donc non un f/4 constant c'est pas possible pour obtenir une photo pas deguelasse sur les salles parisiennes (divan du monde/ cigale / trabendo / Zenith / Maroquinerie / Bata' ect...)
Bon ca c'est en général... j'ai pu shooter avec des ouvertures tels que du 5,6 ect certaines fois comme à Lofofora a la machine du moulin rouge. Mais c'est tellement rare que je m'en souvient
Non, nous parlons bien des mêmes salles (plus caves, parfois éclairées à la bougie et restaurants avec éclairage des tables seulement...).
Il n'y à pas de secrets, pour faire de la photo de concert il faut grimper dans les zizos, 2000 c'est suicidaire, 3200 trop bas.
Après, il faut aussi et surtout l'appareil adapté, une rougne actuelle ne fait pas de grain à 6400... Et là je parles d'un boitier à 450€ !
Change de boitier avant de changer d'optique. Déjà en péloche on tourne au 6400, souvent en pousse (12800 sans souci en N&B).
Même avec mon D2Xs (boitier de secours, que je sors rarement dans le sombre) ça ne granule pas (bon lui je ne passe pas les 4000 idéalement). Je ne corrige pas le grain par soft, je laisse tel quel (je viens de l'argentique, où le grain est beau, et recherché !).
Le D3s tourne habituellement à 12800, ça graine comme un D300 à 200...
Perso, la je suis pas du tout d'accord ! Le samyang beaucoup en sont mécontent, mais pourquoi ? parce qu'il se sont pas a la MAP manuelle et 2/ parce qu'il faut le connaitre et pas se fier aux indication de MAP sur le fut. Une fois qu'on s'est fait les dents dessus, ca devient presque automatique, bon toujours plus de dechets. surtout comparé au 14 2.8 de chez Canon que j'ai pu utiliser.
la stabilisation, sur un UGA ... je doute clairement de son importance... sur des longue focale, 70 85 ect... je fais pas sans mais sur du grand angle, j'estime que c'est pas necessaire.
apres un 14, tu cherches la déformation, que ce soit canon, Samyang, Nikon.. la facon de shooter est différente, et faut se placer au plus pres de son sujet pour avoir du dynamisme.
vient d'ouvrir une page sur FB: que du samyang sur ces series ou pratiquement
http://facebook.com/marc.richard.photo75
Je n'ai jamais dit que j'en était mécontent, il est de qualité inférieure aux optiques que j'ai cité. Et j'ai gardé les uns et les autres assez longtemps ensemble pour comparer directement (3 mois).
La MAP manuelle, vu que mis à pars mes télés et zooms dédiés au sport (80-200 f/2.8, 300 f/2.8) je n'ai que du manuel (du 14mm au 500mm), et je bosse en manuel avec le 15-30... ^^
Les indications du fût, mais ça personne ne s'y fie jamais, c'est utilisé seulement pour préparer une plage de MAP et réaliser une approche pour avoir le moins d'amplitude de mouvement possible à faire et gagner du temps. Sur un GA totalement inutile, c'est pour les télés ça.
La stabilisation inutile sur un GA c'est l'erreur aussi de croire ça, si de plus en plus de pros en reportages utilisent ce 15-30 et que les constructeurs les stabilisent (en commençant par le haut de gamme, pas par le bas !) il y à une très bonne raison. Je peux tourner tranquillement au 1/2 en salle sans flou (bon il faut aussi travailler sa respiration et sa prise d'appareil pour que les battements du coeur ne déstabilisent pas, comme au tir). En reportage/concert c'est une arme qui permet de te différencier clairement des autres, souligner les mouvements de spectateurs, arrières plans, ou inversement...
Si c'est pour gagner de l'argent, il faut se différencier, et là, ça paye (ça rembourse bien plus que l'objo). ^^
Si c'est pour se faire plaisir, c'est un outil de plus (éjectable).
La construction de l'image avec un GA est clairement différente, il faut se "jeter" dans le personnage à photographier. C'est fun, mais tout ne monde n'est pas du genre à se poser devant et s'imposer.